shopping façon bradshaw [FINI]

Invité

Biip Biip. Il était neuf heure du matin. C'était le réveil de Carrie. La belle trentenaire ouvrit les yeux et s'étira avant de remonter sa couverture jusqu'au nez. Elle émergea pendant quelques secondes avant de penser que c'était vendredi. Pour Carrie vendredi égal levé neuf heure, sortie de l'appartement à dix heure et demi et shopping jusqu’à midi puis déjeuné dans un bon restaurant de la 5em avenue et ensuite shopping jusqu’à quatre ou cinq heure de l’après midi. Quand elle y pensait, d’un sursaut, elle sauta du lit et courra vers la salle de bain après une bonne demi heure sous la douche elle sortit de la salle de bain maquillée et tout propre. Elle alla alors dans son dressing et s’habilla. Une robe De la Renta avec des belles louloutes et un petit sac Louis Vuitton. La classe !!!!
Enfin prête, elle sauta dans un taxi qui l’emmena chez Barney’s. Ce n’était pas sa boutique préférée mais elle trouvait toujours son bonheur là bas. Elle fouina dans les vêtements pour homme. Elle comptait acheter quelques vêtements pour son homme à elle. Elle se déplaçait latéralement le nez dans les soldes quand elle percuta quelqu’un. Carrie fut confuse et s’empressa de s’excuser.

-Désolée, je ne l’ai pas fait exprès. Enfin vous pouvez vous l’imaginez. Je suis désolée !

Elle connaissait cet homme. Où est ce qu'elle a bien pu le rencontrer. Elle le regarda d'un air pleins de reflexion, de haut en bas, de bas en haut. Elle n'osait pas demandé, sa aurait fait très impolie.

* Mais où est ce que je l'ai déjà vu !!! Il est bien habillé, plutôt mignon, je devrais m'en souvenir ! *

D'un coup Carrie eu la petite ampoule qui s'allume au dessus de sa tête, le déclic, la lueur d'intelligence. Elle s'en souvenait. C'était après sa première rupture avec Big, elle était desespéré et elle avait rencontré ce charmant homme qui avait été un de ses coup d'un soir, une de ses rendez vous d'après rupture qui sont souvent totalement nul.

-Ha salut ! sa fait longtemps !

Gregory avait eu une dure matinée. Il devait donné un cours à 8h00. Il avait encore du se lever tôt. Il était fatigué, et c'est donc de mauvaise humeur qu'il avait fait cours. A la fin de son cours à 10h00. Une de ses étudiantes était venu lui parler. Elle lui avait dit qu'elle trouvait marrant son style vestimentaire. Qu'elle était persuader que son frère de 14 ans avait exactement le même t shirt. Il recommença un autre cours à 10h05 et réfléchit à ce qu'elle lui avait dit. On ne pouvait pas dire qu'il s'habillait mal, si ? Il portait son t shirt préféré, avec un beau jean qu'il avait acheté il n'y avait pas longtemps et une veste grise qui lui donnait de la contenance. C'est vrai qu'il n'était pas vraiment vetu comme les autres professeurs mais il ne se voyait pas porté une cravate. A 11H00? Il quitta l'établissement, il n'avait pas beaucoup de temps si il voulait arriver avant que la cantine soit pleine à 11h50. Il s'arreta chez Barney's, pour s'acheter... pour s'acheter quoi d'ailleur, il n'allait pas changer de look pour une étudiante. Il allait partir en s'insultant mentalement d'imbécile quant il fut percuter. C'était trop pour lui ! La femme s'excusa lui disant qu'elle n'avait pas fait exprès.

On vous a jamais appris à regarder où vous mettez les pieds grogna t il.

Elle lui dissait quelque chose. Mais quoi ? Il l'observa quelque instant et se rappela d'elle. Il avait perdu un patient et avait finit dans un bar. Il avait beaucoup trop bu et avait fini la nuit avec elle. Le lendemain il s'était reveillé avec un mal de tête et avait fuit avant qu'elle ne se reveille. Il avait apprit dans la journée son métier, elle était journaliste et avait écrit sur lui. Sur leur nuit, il s'était promis de lui faire payer si il la croisait un jour. Et la voilà devant lui aujourd'hui. Elle semblait se rappeler de lui puisqu'elle lui dit salut et que ça faisait longtemps. Il avait envie de prendre ses jambes à son cou. De partir loin.

Lut, oui en effet. Alors c'est à ça que tu occupe tes journée faire du shopping, draguer et pourrir la vie des hommes avec tes articles ?

Invité

Gregory avait l'air de très mauvaise humeur, Carrie le remarque surtout après sa réflexion sur ses occupations. Ok elle passait beaucoup de temps à faire du shopping, et puis draguer elle l'avait fait mais maintenant qu'elle était maquée elle restait sage quand à ses articles, cétait son métier, étudié l'attittude des newyorkais face à l'amour et au sex. Elle parlait de toutes ses histoires même les plus desastreuses et elle trouvait vraiment méchant et incorrect qu'il lui fasse une remarque.

-Non je ne passe pas mes journée à faire du shopping, draguer et pourrir les hommes. Je pense que tu dois parler de l'article que j'avais écrit après notre soirée mais sache que c'est mon métier, j'étudie les atittudes des newyorkais face au sex et à l'amour. Je n'est en point critiquer notre soirée 'ai juste raconté le fait qu'après des ruptures très dur on va souvent vboir ailleurs pour essayer d'oublier. Excuse moi de faire mon métier !

Carrie était vexée, il l'a prenait pour une petite libertine. Elle le regarda et s'arrêta sur son t-shirt. Pour une fan de mode comme elle, ce tshirt sur un homme d'âge mûr comme lui était un supplice pour les yeux. Autant le soir où ils s'étaient rencontrés i létait bien habillé mais là !

-Et puis avant de critiquer il faudrait peut-être t'acheter des vêtements qui font que tu assumes ton âge et pas des tshirt pour adolescent prépubère ! Je conçois que tu sois de mauvaises humeur mais ne t'en prends pas aux autres !

Elle tenta de se justifier, lui disant que c'était son métier, qu'il n'avait pas droit de la juger alors qu'elle ne faisait que son travaille. Il sourit.

Oh Excuse moi, vraiment. Qu'est ce que je peux être idiot ! Tu faisais juste ton travaille. Mais attends tu crois que les cambrioleurs font la même chose. Désolé je faisais mon métier , il faut bien que je fasse mon travail si je veux que mes enfants puissent regarder la télé sur un écran plasma. Peut être même qu'on devrait jamais se permettre de condanné les tueurs à gage parce que les pauvres faut bien qu'ils remplissent leur contrat si ils ne veulent pas mourrir de faim.

Bon d'accord il y était peut être aller un peu fort, mais elle le méritait. Qu'elle ne mette pas ça sur le compte de son travail. Elle l'aimait son travail, et lui détestait son hypocrisie.

Et là c'est le drame comme on dit parfois. Elle lui dit qu'avant de critiquer il fallait qu'il se regarde et qu'il s'assume et qu'il évite de porter des t shit d'ados prébubère. Il était tellement choqué qu'il ouvrit la bouche incapable de parler. Et que même si il était de mauvaise humeur il n'avait pas droit de s'en prendre aux autres. Il lui fit un regard noir. Pour qui se prennait elle c'était son t shit préféré.

Ecoute je conçois que tu n'ais aucun goût en matiere de vetement pour hommes puisque tes activités se déroulent quand ils sont nus, mais passons. Pour ce qui est de la mauvaise humeur, désolé j'ai jamais réussit à parraitre sympathique au gens qui me rentre dedans. Encore une fois je suis pas sur que tu puisse comprendre puisque je crois que t'aimes plutôt ça toi, qu'on te rentre dedans.

Il était fier de lui et de ce qu'il avait pu lui dire. Mais il savait que le combat n'était pas gagné d'avance, il attendait donc impatiemment la nouvelle attaque de son adversaire.

Invité

Elle ne rêvait pas ? Non, vraiment, elle ne rêvait pas. Il venait de la traiter de garce, tout le contrair de Carrie qui cherchait juste l'ame soeur. Elle passa sa main dans ses cheveux, sa main gacuhe où se trouvait l e gros diamand que Big lui avait offert dernièrement et qui montrait un certain engagement qu'ils avaient l'un envers l'autre.
La colère venait à Carrie mais le dégoût aussi. La femme, qui était quelque peu sensible, sentit monté les larmes àses beaux yeux bleues. Elle lacha tout les vêtements qu'elle avait en main et regarda Gregory, d'un regard noir.

-Dis moi au juste ce que tu as contre moi! Ok notre nuit était pas super mais sa arrive. J'ai écrit sur toi mais dis moi juste qu'elle femme ou même personne pourrait reconnaitre que je parle de toi, je n'ai même pas citer ton prénom! T'as été un coup d'un soir mais j'ai aussi été un coup d'un soir pour toi donc ne me critique pas pour sa, parce que tu as fait la même chose ! T'es quelqu'un de pervers et méchant ! Tu viens gacher la journée des gens, je m'en prend plein la figure parce que j'ai eu le malheur de coucher avec toi il y a cinq ans et de te bousculer juste avant. Désolé que tu ne sois pas mon centre d'intérêt. Je m'excuse pour l'article même si je ne vois pas où est le mal. Mais bravo, tu viens juste de gacher ma journée !

Peut être qu'il y était aller un peu fort, elle était au bord des larmes prete à exploser. Enfin au moins lui était désormais calme et fiere de lui. Son discour avait été brillant. Elle lacha tous les vetements qu'elle tenait et pendant un cour instant il crût que c'était pour pouvoir le frapper. Mais non elle se contenta de lui faire un regard noir, ce qui le fit d'ailleur sourire. Elle lui demanda ce qu'il avait contre elle, remettant leur nuit sur le tapis, l'insultant d'être pervers et méchant. Tant de compliment allait le faire rougir. Enfin il pouvait être satisfait il lui avait pourri sa journée. Mission accompli donc ! Cependant quelque chose attira son attention, elle portait à la main gauche un gros diamant. Elle était donc casé, il s'était trompé à son sujet. Elle avait changer. Il aurait voulu lui rétorquer quelque chose de tranchant qui achevrait son adversaire, mais elle avait raison, qu'avait il contre elle ? Oui elle avait écrit un article se servant de lui mais personne ne pouvait le savoir. Méritait elle vraiment ça ou s'acharnait il parce qu'il avait une mauvaise journée ?

C'est bon ton monologue est finit ? Je t'ai pourri ta journée, tu m'avais pourri la mienne. Plus qu'une autre journée à te gâcher et on sera peut être quitte ou pas d'ailleur...Oh et pas besoin de chialer pour m'attendrir, tu l'as dit je suis une pourriture.

Invité

-Et ben sache pour ta gouverne que je ne suis plus cette fille que tu prétends avoir connu. Je ne suis pas cette trainée que tu dit que je suis. J'ai un homme, un vrai, depuis bientôt 2 ans. Alors crois moi toute tes théorie sur mes sois disant hobbies, tu peux te les garder. Non je ne vais pas pleurer parce que tu n'en vaut même pas la peine.

Sur ces belles paroles, la belle blonde prit ses articles, plus le pull que Gregory tenait en main et se dirigea vers la caisse. Elle ne se retourna pas. Les talons de ses Manolos claquaient par terre, elle marchait la tête haute, la démarche d'une trentenaire aimé et sûre d'elle. Plus rien ne pouvait l'atteindre, même pas un ex de mauvaise humeur. C'était son vendredi shopping. Une fois à la caisse, elle attendait en regardant autour d'elle. Mais est-ce que gregory allait de nouveau venir lui parler ? Avait-il encore quelque chose à dire ? En tout cas le pull qu'elle lui avait pris des mains était plutôt pas mal !

Elle lui dit qu'elle n'était plus comme ça, elle n'était pas la fille qu'il avait connu. Même pas connu d'ailleur. Elle n'était pas une trainée comme il le disait. Elle lui confirma qu'elle avait quelqu'un dans sa vie depuis deux ans. Alors que lui n'était même pas depuis un mois avec Liza. Elle lui dit aussi qu'il ne valait même pas la peine qu'elle pleure. Elle avait raison il n'en valait pas la peine mais pleure t 'on uniquement quand ça en vaut la peine ? Lui avait toujours crut qu'on pleurait quand on avait trop mal, quand on était brissé. Après son petit discours, elle tourna les talons. Il avait envi de lui crier quelque chose, de finir de lui pourrir sa journée, juste comme ça, pour se sentir mieux. Il avait envi de la voir pleurer, juste pour lui prouver qu'elle avait tord. Il se contenta de baisser la tête. Il la laisserait gagner pour cette fois. Il aurait pu la faire craquer, lui faire mal uniquement parce qu'elle lui avait gaché sa journée. Elle avait raison, il était cruel, c'était plus fort que lui.
Il se rendit compte qu'elle lui avait piqué son pull. Tout un tas d'insultes vinrent à son esprit. Il pouvait toujours la ratrappé, il n'était pas encore trop tard. Mais il ne le fit pas, il se contenta de retourner dans le rayon pour pouvoir en prendre un autre. Il regarda l'heure, il était en retard par sa faute et la prochaine fois qu'il la verrait, il lui ferrait payer. Il régla son pull et retourna à NYU, comme il l'avait prédit le RU était plein et il n'y avait même plus de pain. Il soupira sortit sans avoir manger et enfila son nouveau pull. Puis il jeta son T shirt dans une poubelle.