retrouvailles [pv : Liza Standford] [terminé]

Que devait il faire maintenant, il hésita, devait il faire comme s'il se rappelait d'elle ou faire l'homme qui ne l'avait pas reconnu.

Oui c'est bien moi, Gregory Morgan pour vous servir. dit il en souriant et en lui rendant le reste de ses affaires. Elle n'avait pas l'air en colere apres lui mais intriguée.

Euh Il fit celui qui avait oublier comment elle s'apellait apres tout il avait une réputation de tombeur à préserver.

Liza dit il enfin. Liza Standford

Il lui fit son plus beau sourire.

Eh bien c'est un plaisir de te revoir Liza. Je enfin ... J'ignorais que tu travaillais ici.

Il l'observa, elle n'avait pas beaucoup changer, elle était toujours aussi belle. Il attendit sa réponse en esperant qu'elle ne l'avait pas oublier. Il sourit bien sur qu'elle n'avait pas pu oublier, il avait été sa premiere fois, et aussi sa deuxieme et sa troisieme..., son ami, mais aussi son amant. Il la détailla, elle ne portait pas d'alliance, un bon point pour lui. Oui une bonne journée commençait. Il avait peut etre bien fait de changer de vie.

Elle lui souriait, un sourire qui ne le laissait pas indifférent d'ailleur. Lui aussi il n'avait pas l'air de la laisser indifférente. Il ne lui restait plus qu' à esperer qu'elle soit célibataire ou alors infidele. Elle travaillait ici depuis deux ans, ça l'intriguait, c'est vrai qu'est ce qu'elle faisait encore à New York, il était persuader qu'elle rentrerait en angleterre une fois ces études achevée. Mais apres tout peut importait, et il n'allait surtout pas se plaindre du fait qu'elle soit rester.

Oui ... C'est mon premier jour comme prof de chirurgie.
Il attendait sa réaction ça allait, elle souriait encore. Elle étais contente de le voir. Elle venait de dire que c'était une belle surprise. Il ne pu s'empecher de sourire.
Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs, ta nouvelle coiffure te va à merveille.
Oui il commençait déjà à draguer, après tout elle n'avait connu que Gregory le tombeur et il ne voulait pas la decevoir.
Il finit par lui poser la question qui l'intriguait depuis tout à l'heure.

Je m'attendais vraiment pas à te trouver ici, je veux dire, j'étais persuader que tu étais retourner en angleterre.

Il lui sourit en attendant qu'elle lui explique pourquoi elle était rester.

Elle lui apprit qu'elle avait toujours enseignée, ce qui ne l'étonna pas, elle avait toujours voulu enseigner. C'était son reve, souvent elle lui en parlait, lui expliquant comment elle rendrait telle ou telle notion plus simple pour pouvoir l'expliquer à ses élèves, elle savait qu'elle enseignerait, elle était douée. Il avait d'ailleur essayer de la faire changer d'objectif, lui expliquant qu'elle ne devait pas gacher ses connaissance pour apprendre la médecine à des débiles ingrats mais rien à faire elle était bornée. Elle enseignait depuis 2 ans ici, c'était normal qu'elle ai voulu travailler là, lui non plus ne ce serait pas vu travailler ailleur que dans son université. Elle lui dit que pendant toute ses années, elle l'avait cru loin. Toute ses année à vivre dans la meme ville sans jamais se voir, peut etre que le monde était petit mais ce n'était pas le cas de New York. Il lui sourit, si elle le croyait loin c'est qu'elle avait penser à lui ne serait ce qu'un peu. Elle demanda s'il n'était plus chirurgien.
Non, je ne suis plus chirurgien, dit il simplement.

Elle l'observa, elle avait l'air inquiete, elle lui demanda pourquoi il avait quitté l'hopital, et s'il n' y avait rien de grave. Elle pensait sans doute qu'il avait commis une erreur, qu'il avait été viré pour faute professionel.

Non ne t'inquiete pas, j'ai quitté l'hopital parce que je n'avais pas assez de temps pour moi et pour rencontrer de jolie créature comme toi, lui dit il en souriant.

Elle ne semblait pas rassurée pour autant, elle était inquiete pour lui, après tant d'années elle s'inquietait encore pour lui, ça le touchait meme s'il le cacha bien. Elle lui demanda s'il était ici par choix, oui c'était son choix peut etre pas le bon, peut etre pas le mieu adapté mais c'était sa décision. Cependant il ne pouvait pas répondre à la question qu'elle se posait surement, il ne pouvait pas garantir qu'enseigner lui plairait, mais il essairait, il l'essairait parce qu'elle lui plaisait et qu'apres tout c'était déjà ça.

Oui ne t'inquiete pas, c'est mon choix, on m'as proposé un poste ici et j'ai accepté. Meme si je ne suis pas sur d'être un excellent prof comme toi. lui dit il en souriant et en esperant que ça apaiserait son inquietude.

Tu fais quoi ce soir ?

C'était risqué et il le savait mais si elle n'acceptait pas maintenant, il l'aurait à l'usure.

Elle ne paraisait plus inquiete, le fait qu'il lui est dit qu'il avait choisi ce poste l'avait rassurée, ça et le faite qu'il la complimente, elle avait toujours sourit à ses compliments, c'est comme ça qu'il était parvenu à ses fins.
Il se mit à rire. Elle acceptait, mais elle imposait ses conditions, elle n'avait pas changer, elle était restée la même. Il lui plaisait c'était maintenant évident, et si ça l'était pour lui, elle était sans doute arriver à la même conclusion. Il était quand même surpris qu'elle accepte si facilement. Il aurait penser qu'elle le ferait languir un peu plus longtemps. Mais puisqu'elle cherchait à se trouver un mari,elle n'irait sans doute plus par quatre chemin. Ce qui il devait l'avouer était une bonne chose pour lui.

Est ce que je t'ai dit que tu n'avais pas changer ! lui dit il en souriant. C'est d'accord, je t'invite à diner dans un vrai restaurant. Tu peux me donner ton adresse pour que je passe te prendre ?

Il esperait une autre victoire, car si elle lui donnait son adresse il pourait venir la prendre certe, mais aussi la ramener. Il sourit à cette idée. Cependant il était légerement nerveux, ça faisait un moment qu'il n'avait pas emmenée de femme au restaurant. A l'hôpital, il était surtout sortit avec des infirmieres, enfin sortir n'était peut etre pas le bon mots. Enfin il n'avait pas prit la peine de les emmener au restaurant. Et ce soir, ce soir tout devait etre parfait pour elle, il devait l'impressioner.

Gregory acceptait de l'emmener au restaurant, Liza allait donc pouvoir aller manger dans un lieux où elle ne serait pas seule. Liza n'aimait pas trop manger toute seule mais pourtant, ça lui arrivait très souvent, presque tous les jours. Parfois elle invitait sa soeur chez elle ou elle sortait avec des amis.
Gregory voulu son adresse. Liza savait pourquoi mais elle ne lâcherais pas le morceau comme ça.

Ne t'inquiète pas je ne vais pas me perdre, dis moi où on se rejoint et à quelle heure et j'y serais, Je ne te poserais pas un lapin promis. Tu sais que ce n'est pas mon genre.

C'était peut-être plus le sien. Liza tenait ses promesses et de toute façon elle n'allait pas le faire attendre car elle avait envie d'y aller à ce dîner.

Tu sais, je pense qu'on peut remettre les compteurs à zéro et je te préviens, je ne couche pas dès le premier soir.

Liza voulait mettre les choses au clair, elle cherchait un mari mais pas à être une traînée. Liza connaissait bien Gregory mais ça faisait très longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus. Elle ne voulait donc pas finir dans son lit ce soir. Liza avait tout de même des valeurs et elle s'était fixée des règles.

Je te donnerais mon adresse quand je serais prête à te la donner. Pour le moment, c'est encore trop tôt, on vient seulement de se retrouver. J'espère que tu comprends.

Elle ne voulait pas lui donner son adresse et euh ... zut! Il se doutait bien qu'elle n'allait pas se perdre, ni lui poser un lapin, parce qu'elle avait raison ce n'était pas son genre. Elle essayait de toujours tenir ses promesses. En faite c'était plutôt le sien, mais pas ce soir, pas avec elle.

Mais. J'voulais que ce soit une surprise. il la supplia, lui fit sa moue boudeuse et son regard de chien battu avec lequel il avait rencontré tant de victoire avec elle. Mais il fallait croire qu'avec le temps, elle cédait encore moins facilement. Il allait encore redevoir relever le défi.

Elle lui dit qu'ils pouvaient remettre les compteurs à zéro. Il fronça les sourcils qu'est ce qu'elle voulait dire par là. Et là elle lui assena qu'elle ne coucherai pas avec lui ce soir. Il devait cacher sa déception, enfin de compte elle ne tenait pas toujours paroles, il avait encore ses chances hein?

Alors là Liza tu me choques, tu sais bien que je suis pas un garçon facile. Et que même si tu essaie de me faire boire, il ne se passera rien de sexuel entre nous ce soir.

Peut etre que c'était ça la solution, il allait peut etre devoir la faire boire. Non ça fonctionnerait pas c'était pas son genre d'être bourré au restaurant. C'était fini, il allait devoir attendre!

Et elle lui fit le coup du je suis pas encore prete, j'espere que tu comprends. Ah c'était bien les femmes ! Non il n'avait pas envie d'être compréhensif. ça n'avait rien d'exeptionnel, il lui avait juste demander son adresse, sans aucune arriere pensée,aucune. Mais non, il fallait qu'elle trouve qu'il allait trop vite ! Même à un simple ami, elle aurait donné son adresse pour qu'il lui envoie une carte postale. Alors quoi elle ne le considérait pas comme un ami ? Le truc c'était qu'elle le connaissait, qu'elle connaisait ses intentions depuis qu'il l'avait invité et qu'elle avait beau dire qu'ils remettaient les compteurs à zéro, elle ne lui faisait pas confiance et quelque part cette idée le blessa. Mais il pouvait la comprendre.

T'inquietes pas, je comprends. On a qu' à dire au restaurant français à 20h00. Est ce que ça te conviens ?

Gregory lui donna son numéro de portable sur une de ses cartes, il avait encore sur lui des cartes de chirugien même s'il n'exerçait plus à l'hôpital. Au moins comme ça elle aurait son numéro. Elle ne pensait pas s'en servir pour annuler, elle n'avait pas envie d'annuler, elle voulait y aller à ce dîner.

Ne t'inquiète pas, je viendrais ce soir, j'ai très envie de dîner avec toi au restaurant.

Liza attendait ça depuis longtemps, qu'un homme l'invite à dîner. Elle aimait les restaurants, elle aimait dîner en charmante compagnie.

Puis il se rendit compte aussi qu'il avait beaucoup discuté et que lui aussi devait aller à son cours. Il lui dit au revoir en l'embrassant sur la joue. Liza se toucha la joue et se retourna pour lui sourire. On aurait dit une vrai gamine qui reçoit son premier baiser.

Puis elle se dirigea vers sa classe et s'installa à son bureau. Les étidiants avaient l'air de perdre patience.

Excusez moi de mon retard. Bon le cours peut enfin commencer. Reprenons la leçon là où nous l'avions laissé la dernière fois. Nous reprenons donc la communication nerveuse.

Liza continua sa leçon.

[tu peux commencer le sujet au restaurant?]